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week-end voyage(s)

préparez vos valises : on part en bateau, au cirque, en thaïlande, dans les ‘love songs’ en live symphonique et dans un drame envoûtant auprès d’une femme amnésique. attention, ouverture des écrans, départ imminent.

Un documentaire très frais, sympa comme tout. On imagine pas forcément combien le rythme de vie du personnel qui fait tout pour simplifier la vie des vacanciers est soutenu. De bons moments.

 

Pendant sept jours, Maya Lauqué et Thomas Isle, embarqués à bord du Splendida, un magnifique bateau de croisière de 300 mètres de long et de 60 mètres de haut, vont suivre au quotidien les femmes et les hommes qui travaillent dans l’ombre pour satisfaire au mieux le séjour des croisiéristes.

En intégrant le personnel du navire, ils vont comprendre ce qui est mis en œuvre pour que tout se passe au mieux pour les vacanciers.
L’accueil, l’entretien, l’animation, rien n’est laissé au hasard. Pour que la croisière s’amuse, 1 300 personnes œuvrent jour et nuit sur l’immense paquebot. Tour à tour femme de chambre, majordome, agent d’entretien, danseur... Maya et Thomas vont également découvrir d’autres métiers insolites.

Bienvenue à bord ! 

 

 

Documentaire réalisé par Patricia Rimond des anges (France, 2014, 1h30mn). Avec Thomas Isle et Maya Lauqué. Produit par Jara Prod, avec la participation de France Télévisions. 

 

 

 

Donc le décor est posé. On voyage ce week-end. Géographiquement certes, mais aussi dans la tête.

 

On attaque vendredi avec un super doc parmi les employés d’un énorme bateau de croisière. Vous verrez, il y a des salariés parmi les 1300 du navire qui ont des postes vraiment insolites… Quelle machinerie ! Puis on ira passer la soirée au cirque. On verra des représentations étonnantes, parmi les meilleures, et on rencontrera LE révolutionnaire du cirque…

 

Samedi, direction la Thaïlande. Un vrai rêve en couleurs. On embarque (encore) en mer mais cette fois-ci sur une barque traditionnelle… Après ces péripéties, le cerveau continuera à s’évader avec un concert inédit de “Love Songs”, en version 100% symphonique. Magique.

 

Et dimanche ? Attachez tout, décrochez le téléphone, dînez tôt (ou tard), LE meilleur film de David Lynch vous plongera entre une aspirante actrice et une femme amnésique…Vous verrez, il y a tout dans ce film couronné à Cannes (mise en scène) et aux Césars (film étranger).

 

En plus vous êtes vernis. Vous voyagez en première ce week-end.

À l'occasion des fêtes de fin d'année, le magazine de France 5 nous emmène dans des destinations de rêve...

 

Jérôme Pitorin nous entraîne dans un décor paradisiaque, celui de la Thaïlande. Il est attendu par le capitaine Philippe Cathala, qui va mette le cap dans les eaux turquoises de Koh Phi Phi, à bord d'un longtail boat, une petite barque traditionnelle. Ce voyage est l'occasion de voir l'implication des habitants dans la préservation des écosystèmes, comme celui des tortues et de passer quelques jours dans la jungle avant une étape incontournable à Bangkok...

 

Au menu ce soir :

  • Les Thaïlandais et la mer

  • Lune de miel en Thaïlande

  • Le Khon, théâtre royal

  • Portrait de famille

  • Le langage des fleurs

  • Croyances et religion. 

 

Magazine réalisé par Vincent Chaffard (France, 2014, 1h30mn). Présenté par Jérôme Pitorin. Coproduit par France Télévisions et Bo Travail .

Maya et Thomas sont sur... France 5
Maya et Thomas sont sur... France 5
Maya et Thomas sont sur... France 5
Maya et Thomas sont sur... France 5
Maya et Thomas sont sur... France 5
Maya et Thomas sont sur... France 5
Maya et Thomas sont sur... France 5
Échappées Belles. Thaïlande... F5
Échappées Belles. Thaïlande... F5
Échappées Belles. Thaïlande... F5
Cirque du Soleil. Varekai. Arte
Cirque du Soleil. Varekai. Arte
Cirque du Soleil. Varekai. Arte
Cirque de demain. Arte
Cirque de demain. Arte
Cirque de demain. Arte
Sarrasani, le... Arte
Sarrasani, le... Arte
Sarrasani, le... Arte
Vanessa Paradis. Love Songs. Arte
Vanessa Paradis. Love Songs. Arte
Vanessa Paradis. Love Songs. Arte
Vanessa Paradis. Love Songs. Arte

Aux nuits de Fourvière, Vanessa Paradis reprend son très bel album Love songs, accompagnée par l’orchestre du conservatoire de Lyon. Un concert exceptionnel encadré par Benjamin Biolay, déjà auteur et compositeur de huit titres. 

 

Les 10 juin et 27 juillet 2014, Vanessa Paradis a proposé une création pour le moins ambitieuse au festival Les Nuits de Fourvière : reprendre, de la première à la dernière chanson, et accompagnée par l’orchestre du Conservatoire à rayonnement régional de Lyon, le très beau Love songs. Un double album sorti au printemps 2013 dont presque la moitié des titres ont été écrits et composés par Benjamin Biolay, auteur en outre des arrangements et de la réalisation.

 

UNE NOUVELLE DIMENSION

 

Des paroles touchantes qui chuchotent l’amour, les divines idylles et leurs désillusions, des compositions à la fois fragiles et raffinées... : depuis près de vingt-cinq ans, le cocktail Paradis enchante, avec une gracile constance. Mais dans le fond mouvant de ses textes comme dans la forme changeante de ses arrangements, les vingt titres de cet opus ont propulsé la chanteuse dans une nouvelle dimension. Love song, Les espaces et les sentiments, Mi amor, La chanson des vieux cons, pour n’en citer que quelques-uns, s’éclairent ici d’une brillance et d’une émotion exceptionnelles, portées par les cordes et les cuivres de l’orchestre et par les musiciens de la tournée. Ce concert en état de grâce s’appuie aussi sur la tendre complicité de Benjamin Biolay, lequel dirige l’orchestre du conservatoire de Lyon – celui-là même où il fit jadis ses classes. 

 

Concert realisé par Benoît Toulemonde (Drance, 2014, 1h30mn).

 

Mulholland Drive. Numéro23
Mulholland Drive. Numéro23
Mulholland Drive. Numéro23
Mulholland Drive. Numéro23

A Hollywood, durant la nuit, Rita, une jeune femme, devient amnésique suite à un accident de voiture sur la route de Mulholland Drive. Elle fait la rencontre de Betty Elms, une actrice en devenir qui vient juste de débarquer à Los Angeles. Aidée par celle-ci, Rita tente de retrouver la mémoire ainsi que son identité.

 

Le film, à l'origine destiné à être un pilote de série télévisée, est en grande partie tourné en 1999 : Lynch ayant alors la volonté de laisser la fin ouverte dans l'éventualité d'une série. Cependant, après le visionnage de la version, les responsables de l'audiovisuel le rejettent. Lynch se décide à doter le projet d'une fin le transformant ainsi en long métrage. Le résultat, hybride entre pilote et long métrage couplé au style si particulier de Lynch, a laissé le sens général des événements dépeints dans l’œuvre sujet à interprétation. Le public, les critiques et même l'équipe de tournage en sont réduits à spéculer sur le sens émanant du film après le refus du réalisateur de fournir une explication de ses intentions quant au récit. En effet, Lynch préfère définir son œuvre de la façon suivante : « A love story in the city of dreams ».

 

Classé dans le genre des thrillers psychologiques, Mulholland Drive est salué par de nombreux critiques et offre à son réalisateur le prix de la mise en scène au festival de Cannes 2001 ; Lynch est également nommé pour l'Oscar du meilleur réalisateur lors de la cérémonie de l'année suivante. Ce film propulse les carrières de Naomi Watts et de Laura Harring alors qu'il marque la fin de celle d'Ann Miller, l'actrice y interprétant son dernier rôle. Mulholland Drive est régulièrement compris parmi les meilleurs films de David Lynch aux côtés d'Eraserhead (sorti en 1977) et de Blue Velvet (1986). En 2014, la revue britannique Sight & Sound réalise un sondage au cours duquel 40 critiques citent Mulholland Drive parmi les plus grands films de l'histoire du cinéma. En France, les Cahiers du cinéma l'élisent meilleur film de la décennie. Le critique du New York Times A. O. Scott qualifie l’œuvre de « libération enivrante des sens, avec des instants d'autant plus puissants qu'ils semblent émerger de la nuit obscure du monde de l'inconscient. »

 

Réalisé par David Lynch (États-Unis, France, 2001, 2h26mn). Scénario : David Lynch. Photographie : Peter Deming. Musique : Angelo Badalamenti, David Lynch et John Neff. Avec Naomi Watts (Betty Elms / Diane Selwyn), Laura Harring (Rita / Camilla Rhodes), Justin Theroux (Adam Kesher), Ann Miller (Catherine "Coco" Lenoix), Dan Hedaya (VincenzoCastigliane), Lori Heuring (Lorraine Kesher), Angelo Badalamenti (Luigi Castigliane). Montage : Mary Sweeney. Produit par StudioCanal, Asymmetrical Prod.

 

Une soirée entière au cirque... Un programme riche et de qualité. Mais on est sur Arte, alors on le savait... Sommaire :

 

20h50. VAREKAI. Cirque du Soleil.

 

Premier spectacle filmé du cirque du soleil, Varekai a ravi plus de six millions de spectateurs à travers le monde. un récit initiatique sublimé par la magie du cirque. Nous sommes au sommet d’un volcan, dans une forêt enchantée. Icare, être candide et craintif, tombe du ciel en parachute et atterrit en douceur. L’aventure peut commencer, rythmée par des rencontres inattendues avec les créatures fantastiques qui habitent ce lieu fabuleux : La Promise, envoûtante et sensuelle, qui sera pour le héros un repère dans ce monde inconnu ; Le Guide, oiseau ancestral calciné depuis des siècles, vieux sage qui veille à inspirer et à provoquer ceux qui l’entourent ; et La Vigie, savant fou, capteur des mémoires du monde, annonciateur des épreuves et bruiteur de la cérémonie.

PÉRIPLE MAGIQUE

Le spectacle, intitulé Varekai, fait référence à un mot de la langue des Roms qui signifie “peu importe où”, “ici ou ailleurs”. Il nous entraîne dans un périple magique dans l’univers des nomades, sublimé par les arts du cirque. Le spectacle est en effet l’occasion de présenter des numéros plus fascinants les uns que les autres : courroies et cerceaux aériens, balançoires russes, danses géorgiennes, solos d’équilibristes sur béquilles et sur cannes, clowneries et jonglerie... 

 

Spectacle (Canada, 2003, 1h30mn) – Réalisation : Nick Morris – Mise en scène : Dominic Champagne Chorégraphie : Bill Shannon, Michael Montanaro Image : Francis Laporte – Musique : Violaine Corradi Costumes : Eiko Ishioka – Décors : Jaque Paquin Son : François Bergeron – Lumière : Nol van Genuchten – Production : Cirque du Soleil Images 

 

22h20. 35ème Festival mondial du Cirque de demain.

 

Une compétition internationale de haut niveau qui récompense les talents les plus rares, découverts aux quatre coins de la planète. En invitant chaque année à Paris au Cirque Phénix près d’une centaine d’artistes issus des cinq continents et représentant une quinzaine de nations, le Festival mondial du Cirque de demain est à la fois une fenêtre sur le monde et un formidable écho de ce que l’acrobatie, le jonglage et l’humour sont capables de produire, saison après saison, pour contribuer à l’évolution des arts du cirque.

RÊVERIES ET HAUTE VOLTIGE

La performance, la technique, la capacité d’invention mais aussi la présence et la poésie sont ainsi récompensées par un jury international. Tous les numéros doivent susciter l’émotion. Au programme de cette 35 édition, un spectacle éblouissant interprété par des jeunes de moins de 25 ans sélectionnés et auditionnés parmi des centaines de numéros. Cette année, le clown Housch Ma Housch, fils spirituel de Tex Avery, sera l’invité d’honneur, sans oublier Calixte de Nigremont, célèbre et incontournable Monsieur Loyal.

 

Présenté par Calixte de Nigremont 

 

Spectacle – Mise en scène : Alain Pacherie – Réalisation : David Montagne (France, 2014, 1h20mn) Direction artistique : Pascal Jacob Direction musicale : François Morel 

 

 

23h50. Sarassani, le révolutionnaire du cirque.

 

Dans l’Allemagne de la Belle époque, le Cirque Sarrasani crée la sensation. Portrait de l’homme qui a révolutionné ce divertissement spectaculaire et populaire. C’est en 1902, près de Dresde, que commence une étonnante success story. Sous le pseudonyme de Giovanni Sarrasani, Hans Stosch, saltimbanque ambitieux, fonde un petit cirque qui connaîtra bientôt un succès sans précédent. En ce début de siècle, on se passionne pour les cabinets de curiosités, les expositions coloniales et pour le “nouveau” cirque. Sarrasani s’éloigne de la tradition des bateleurs nomades en faisant construire à Dresde un cirque-théâtre de 4 000 places. Avec ses dresseurs d’éléphants, ses effets pyrotechniques et mécaniques, il deviendra un modèle pour ce genre en plein renouveau – une réussite brutalement interrompue par la Première Guerre mondiale.

À travers la biographie de ce personnage, à la fois artiste rêveur et entrepreneur obstiné, se dessine aussi un portrait coloré de la vie à la Belle Époque. 

 

Documentaire de Hedwig Schmutte (Allemagne, 2014, 52mn) 

 

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