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ÉPISODES 1 & 2 / 8 (2014, inédit).

Les jeunes séminaristes des capucins reviennent pour une très attendue deuxième saison ! Après la démission du charismatique père fromenger, ils entament une nouvelle année, sous l’autorité de son austère successeur, le père bosco. un chemin périlleux, entre ombres et lumière...

L’heure de la rentrée a sonné aux Capucins. Une deuxième année de formation qui s’annonce difficile pour Yann, Guillaume et Raphaël. Car après la démission du père Fromenger, l’intransigeant père Bosco, secrètement atteint d’une tumeur au cerveau, impose au séminaire une nouvelle discipline. Parallèlement, monseigneur Poileaux prend la tête de la conférence des Évêques de France, au bord de la faillite...

Épisode 1

Tout en suivant une lourde chimiothérapie, le père Bosco peine à imposer aux séminaristes des Capucins ses méthodes de formation, lesquelles, prônées par des recommandations du Vatican, font débat au sein de l’Église. Guillaume, surtout, vit mal le ton inquisiteur de ses “entretiens de discernement psycho-affectif”. L’idéaliste Yann tente d’intercéder auprès du père Bosco pour une réintégration de José, désormais cloué dans un fauteuil roulant. De son côté, le peu confiant Mgr Poileaux fait ses premiers pas à la tête de la conférence des Évêques de France...

Épisode 2

À l’occasion de la grande journée des Vocations, le père Bosco, soutenu par Raphaël, espère être consacré auprès de sa hiérarchie dans ses nouvelles missions. Fragilisé par sa chimiothérapie, il trouve de l’apaisement à l’hôpital, grâce aux soins de son infirmière, Zivka. Alors que Yann ne trouve pas la force d’annoncer à José que le père Bosco s’oppose à son retour, Guillaume, menacé de sanctions pour ivresse lors de la fête des nouveaux, voit sa cause plaidée par le brillant père Abel...

Série de David elkaïm, Bruno Nahon, vincent Poymiro et Rodolphe tissot (France, 2014, 8x52mn) - Directeur artistique : Rodolphe tissot - Scénario : David elkaïm, vincent Poymiro et Arthur harari - Réalisation : Rodolphe tissot - Avec : thierry Gimenez (le père Bosco), Jacques Bonnaffé (monseigneur Poileaux), Jean-Luc Bideau (le père Fromenger), Julien Bouanich (Yann le Megueur), Samuel Jouy (José del Sarte), Clément Manuel (Guillaume Morvan), Clément Roussier (Raphaël Chanseaulme), Yannick Renier (le père Abel), Corinne Masiero (Zivka), Nicolas Beaucaire (le père valéry), Christophe Grégoire (le père Soubiran), Guy Denize (le père Cheminade), Céline Cuignet (la sœur Antonietta) - Coproduction : ARte France, Zadig Productions

20:50. SAISON 2 INÉDITE. AINSI SOIENT-ILS

AINSI SOIENT ILS SAISON 2

1/5

Qu'est-ce que la finance solidaire ? Comment assurer la rentabilité des investissements tout en plaçant l'humain au cœur du système ? Qui sont les artisans de cette chaîne vertueuse ?

Pour tenter de répondre à ces questions, ce documentaire vous emmène sur les routes de France, à la rencontre des acteurs, de la finance solidaire et d'entrepreneurs hors du commun. De Lille à Besançon, de Montpellier à Nantes en passant par Bagnolet, "L'échappée solidaire" s'intéresse à d'autres méthodes de production, de management et de gestion, portées par des femmes et des hommes qui refusent la fatalité de la crise.

Le PDG d'une holding solidaire, des artistes qui créent dans des quartiers populaires, un ministre qui prépare une loi, une chômeuse qui donne un nouveau départ à sa vie, une présidente de région qui se bat pour l'emploi, des ouvriers qui élisent leur patron, un entrepreneur qui prépare l'avenir... Étape après étape, ce documentaire met en lumière une économie au service de la société et des territoires.

Documentaire de 49mn réalisé par Renaud Barret et Jérôme Poirier, Coproduction LCP-Assemblée Nationale et Commune Image Media. 2014.

Autrefois réservée à une élite, la culture est aujourd'hui une industrie puissante, mondialisée, massive. De best-seller en blockbuster, de nombreuses créations font désormais partie de l'imaginaire collectif. Elles sont devenues cultes. Cette série raconte le destin de quatre productions fondatrices de cette culture populaire de masse : "Mario Bros . " et les jeux vidéo, le premier concert outdoor de Johnny Hallyday et les concerts géants, les sérigraphies " Marilyn " d'Andy Warhol et le pop art, " Dallas " et les séries télévisées...

"Télé : la loi des séries".

En 1978, CBS diffuse le premier épisode de " Dallas ". Jusqu'à son arrêt en 1991, 357 épisodes de cette série seront regardés par des centaines de millions de téléspectateurs à travers 97 pays. Sur fond de crise pétrolière et de libéralisme reaganien, cette saga sans fard de deux grandes familles texanes et rivales

symbolise dans le monde entier la puissance du capitalisme américain. Par son style, ses innovations et ses produits dérivés, " Dallas " marque aussi un tournant décisif dans l'histoire des séries télévisées. Aujourd'hui, des croque-morts de " Six Feet Under " aux survivants de " Lost ", en passant par les flics de " The Wire " et les robots de " Real Humans ", les séries télévisées américaines sont les blockbusters du petit écran. Elles sont devenues un genre à part entière et le point névralgique de l'industrie audiovisuelle.

Série documentaire en 4 parties écrite par Serge July et Antoine de Gaudemar, réalisée par Daniel Ablin et produite par Folamour, avec la participation de France Télévisions et du CNC. 2014.

(Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants)

(Programme en AudioDescription)

(presque) que des bonnes pensées...

Vivons pieux. Vivons heureux, dans la sainteté. C'est un peu le thème du jour... On va ainsi vivre une belle aventure avec un doc "L'échappée solidaire", poursuivre dans la foi avec la nouvelle saison inédite de "Ainsi soient-ils". Et puis, patatras. Un autre excellent doc (avec du Serge July dedans) qui pourtant démarre bien dans le thème : "Culte !". Sauf que ce soir, le sujet de Culte !, ben c'est "la loi des séries". C'est excellent. Mais pourtant... Paf. On a failli la tenir jusqu'au bout cette thématique !

À demain !