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Une chanteuse transsexuelle, un Premier ministre, un voyou et des agents de la RATP... : pendant 24 heures, Paris croise des destins qui basculent, entre passions, ruptures et espoirs. Quand la ville lumière révèle sa part d’ombre. Une série événement. 

 

Épisode 1

5 heures, Paris s’éveille. Au Sunset, Alexia, transsexuelle, chante pour son ami Ange. À Matignon, le Premier ministre Michel Ardent, dont le fils adoptif Clément a fugué, redoute les révélations de Lioukov, un homme d’affaires russe, qui le sait compromis dans un dossier de corruption. Son ami, le procureur général Pierre Lanvin, mandate Ange pour cambrioler l’appartement de Lioukov... À la RATP, une délégation syndicale menée par Cathy Penmarch prépare une grève, alors que le mari de celle-ci, Yvon, menacé de licenciement, a détourné un bus.

 

Épisode 2

Michel Ardent lance des recherches pour retrouver Clément. Alexia se révèle être non seulement le fils des Penmarch, mais aussi la maîtresse du procureur Lanvin. La femme de celui-ci, Noémie, journaliste, est contactée par Cathy Penmarch au sujet de la grève à la RATP, alors que le juge Milo est résolu à faire tomber Michel Ardent. Ange, lui, a réussi à voler chez Lioukov le dossier qui compromet le Premier ministre.

 

Épisode 3

Grâce à Alexia, Clément retrouve sa mère biologique, Coline, une toxicomane. Yvon Penmarch apprend que son fils cadet, militaire, a été tué au Mali. Michel Ardent soupçonne le ministre des Transports d’avoir lancé la rumeur d’une réforme des retraites pour lui nuire. Quant à Mansour, le mari de Leïla, femme de ménage chez les Lanvin, il trouve un travail dans l’entreprise de pompes funèbres de Loïc Penmarch, le frère d’Yvon.

 

LES MYSTÈRES DE PARIS

 

Mise en scène avec virtuosité, cette chronique chorale, que l’on doit à l’efficace tandem Virginie Brac/Gilles Bannier (Engrenages, Les beaux mecs) invite à une traversée de Paris, le temps de deux tours de cadran, qui lui insufflent son rythme et ses vibrations. Autour d’Alexia, lumineuse transsexuelle et fil rouge du récit, les destins se croisent, entre quotidien et romanesque, pour brosser un portrait en clair-obscur du Paname d’aujourd’hui. Lignes de tension, passions, ruptures... : un jeu de pistes où les objets, oubliés ou retrouvés, distillent des indices avec malice. Cette série, surtout, rebat les cartes et brasse les milieux pour sonder le cœur et les mystères d’une capitale, dans l’esprit des grands feuilletons du XIXe siècle.

 

sur les réseaux sociaux et le dossier arte.tv/paris
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Série de Gilles Bannier (France, 2014, 6x39mn) – Scénario : Virginie Brac – Avec : Sarah-Jane Sauvegrain (Alexia), Florence Pernel (Alice Ardant), Éric Caravaca (Pierre Lanvin), Jérôme Robart (Ange), Nanou Garcia (Cathy Penmarch), Luc-Antoine Diquéro (Yvon Penmarch), François Loriquet (Michel Ardant), Thomas Doret (Clément Ardant) – Image : Tommaso Fiorilli – Montage : Peggy Koretzky – Coproduction : ARTe France, Son et Lumière 

 

 

tout bousiller… et paris…

notre belle capitale à l’honneur aujourd’hui. Double dose. Rien que ça. 

Et pour compléter le tableau, une histoire de vie volontairement bousillée… Intense.

J’adore Paris. Ceux qui me connaissent savent que ça vire au trouble obsessionnel compulsif. Je ne peux pas trop me retenir de photographier « Madame la Tour ». Pareil pour l’Arc de Triomphe, les quais de Seine, l’Opéra, le Sacré Cœur, les Invalides, Montmartre, l’Odéon, Châtelet, etc. etc.

 

Alors autant vous dire qu’aujourd’hui, je suis tout content. Presqu’une sélection entière dédiée à ma ville… Et pas du moyen moins, hein, du très bon

 

D’abord une mini-série « chorale » débute ce soir, on va vivre 24h dans la capitale. Attention, c’est rythmé, ça déroute, c’est « multigenres », bref, c’est Paris.

 

Ensuite on ne se lasse pas de voir et revoir l’un des meilleurs Klapich. Perso, je suis fan. Une méditation dans une certaine mesure, mais surtout une ribambelle de personnages pour qui un petit rien est une montagne. Un poil de recul nécessaire, mais un sacré plaisir.

 

Et finalement, on quitte Paris. Ben voui. Mais pas tout de suite… Dans le film suivant, on assiste à un “pétage de plombs” en bonne et due forme (mais VRAIMENT). Incompréhensible. Imparrable. Du genre de ceux qu’on ne voit pas du tout (mais pas du tout) venir. Un des meilleurs rôles d’Albert Dupontel. Oubliez la mise en scène, contemplez le chef d’œuvre de “bousillage” de vie(s), vous risquez d’être surpris…

 

À demain pour une sélection week-end également déroutante, mais… autrement !

 

Philippe Vigneul, directeur de publication

Antoine Méliot, la quarantaine, a tout pour être heureux : une belle épouse, trois enfants adorables, des amis sur lesquels il peut compter à tout instant, une jolie demeure dans les Yvelines, un métier bien rémunéré dans la publicité. Mais un jour, en plein mois d'octobre, il a l'idée saugrenue de tout saboter en un week-end : son bonheur, sa famille et ses amis.

 

Que s'est-il passé pour que cet homme affable se métamorphose en un être froid et implacable ?

 

Saluons la formidable interprétation d'Albert Dupontel, qui sait bien bousiller des vies et en particulier la sienne. La deuxième partie du film révèle encore plus un acteur étonnant de justesse. Du sur-mesure.

 

 

Drame réalisé par Jean Becker (France, 2008, 1h22mn). Scénario : Éric Assous et Jérôme Beaujour, d'après l'œuvre de François d'Épenoux. Photographie : Arthur Cloquet. Avec : Albert Dupontel (Antoine Méliot), Marie-Josée Croze (Cécile Méliot), Pierr Vaneck (le père d'Antoine), Alessandra Martines (Marion Dange). Cristiana Reali (Virginie), Mathias Mlekuz (Éric). Costumes : Annie Périer. Montage : Jacques Witta. Produit par StudioCanal.

 

paris. saison 1. arte
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deux jours à tuer. france 3
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paris. téva
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Cédric Klapisch signe son 9ème film. Ode à Paris, sur un sujet douloureux. Romain Duris est très convaincant. Un peu déroutant pour certains, je considère ce film comme le meilleur de Klapisch. Les multiples personnages sont épatants. 

 

Pierre, danseur professionnel à Paris, fait part à sa sœur Élise de ce qu'il vient d'apprendre : son cœur est malade, et il risque de mourir si une greffe ne parvient pas à le sauver. Ne pouvant plus danser, il perd goût à la vie, et passe désormais ses journées à observer les Parisiens anonymes du haut de son balcon. Tous ont leurs petits problèmes, comme Roland, professeur désabusé qui se sent revivre en tombant amoureux d'une de ses élèves ; même Élise ne vit pas le bonheur, tout comme le marchand de fruits et légumes qu'elle voit quotidiennement. Pour eux tous, les petits tracas de la vie sont les problèmes les plus importants du monde.

 

Film de Cédric Klapisch (France, 2008, 2h10mn). Scénario : Cédric Klapisch. Photo : Christophe Beaucarne. Musique : Loïc Dury. Avec : Juliette Binoche (Élise), Romain Duris (Pierre), Fabrice Luchini (Roland Verneuil), Albert Dupontel (Jean), Julie Ferrier (Caroline), François Cluzet (Philippe Verneuil), Karin Viard (la boulangère), Gilles Lellouche (Francky), Mélanie Laurent (Laetitia), Sabrina Oouazani (Khadija), Zinedine Soualem (Mourad), Olivia Bonamy (Diane).  Décors : Marie Cheminal. Costumes : Anne Schotte. Montage : Francine Sandberg. Produit par : StudioCanal, TPS Star, France 2 Cinéma, Ce qui me meut, Canal+ France. 

 

 

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