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Une sorcière a jeté un sort sur la noble famille Wilhern, pas sur toute la famille, mais sur la première fille qui naît dans cette famille, Pénélope, qui pour échapper au sort, devra se faire aimer par quelqu'un de son rang.

Malgré son physique ingrat, Pénélope est une fille romantique, comique et courageuse. Elle décide de fuir loin de sa famille pour affronter le Monde. Peu à peu, elle découvrira qu'il faut ignorer le mauvais sort et s'accepter telle qu'elle est.

 

Ce qui peut sembler d'un premier abord une comédie burlesque comme une autre se révèle finalement être un film touchant "à la manière de" Tim Burton, avec une Christina Ricci étonnante et talentueuse.

 

Réalisé par Mark Palansky (Royaume Uni - États-Unis, 2007, 1h41mn). Scénario : Leslie Caverny. Photographie : Michel Amathieu. Avec : Christina Ricci (Penelope), James McAvoy (Max / Johnny), Catherine O'Hara (Jessica Wilhern), Reese Witherspoon (Annie), Peter Drinklage (Lemon), Richard E. Grant (Franklin Wilhern). Décors : Amanda McArthur. Costumes : Jill Taylor. Montage : Jon Gregory et Ian Seymour. Musique : Joby Talbot. Prodtuit par Dylan Russel et Reese Witherspoon.

20:45. COMÉDIE DRAMATIQUE. PÉNÉLOPE.

Soirée dédiée aux vies et aux combats d'une femme, Simone Veil.

 

20:50. Un jour, une histoire. Simone Veil, l'instinct de vie.

 

Simone Jacob n’a que 16 ans en 1944 lorsqu’elle est interpellée à Nice par la Gestapo. Quelques jours plus tard, elle prendra la direction d’Auschwitz. Simone Veil est une survivante. Longtemps restée discrète sur son passé, c’est l’histoire politique et le devoir de mémoire qui vont faire d’elle une icône. Elle sera la ministre qui fera adopter la loi sur l’IVG et la première présidente du Parlement européen. Aujourd’hui encore, elle reste l’une des personnalités préférées des Français.


C’est ce destin hors du commun que les équipes d’Un jour, une histoire vont raconter. 
 

A l’approche du 40e anniversaire de la loi sur l’IVG, les équipes d’Un jour, une histoire lui consacrent un documentaire exceptionnel, retraçant son parcours à travers les lieux qui ont marqué sa vie : Auschwitz, les prisons françaises, l’Assemblée nationale… Des archives personnelles inédites, mais également des témoignages de ses proches, de ses enfants et petits-enfants, de ses collaborateurs et de personnalités telles que Valéry Giscard d’Estaing, permettent de dresser le portrait intime d’une femme qui a marqué le siècle.

 

Un film inédit de Laurent Delahousse, Sarah Briand, Frédéric Martin et Alexis Guillot. Sur une idée originale de Laurent Delahousse. Proposé et présenté par Laurent Delahousse. Rédacteur en chef Frédéric Martin. Directeur artistique Serge Khalfon. Produit par Magnéto Presse.

 

 

22:50. Infrarouge. Viol, elles se manifestent.

 

En France, 75 000 femmes sont violées chaque année. En moyenne, une toutes les huit minutes. Un chiffre exorbitant, pourtant loin de refléter la réalité, car il ne comptabilise ni les mineures, ni celles, majeures, qui n’ont jamais déclaré le viol qu’elles ont subi. 
On estime en effet que seulement 10 % des victimes portent plainte. Le viol n’est pas un fait divers, c’est un crime effroyablement banal et massif. Un véritable fléau de société. Et pourtant, le viol est tabou. 
Comme le dit Clémentine Autain, femme politique, violée à 22 ans : « On peut raconter dans un dîner entre amis ou à ses collègues de bureau que l’on a été victime d’un attentat, que l’on a perdu un proche ou subi un cambriolage. Avec le viol, silence radio. Cet acte touche à la sexualité et la suspicion n’est jamais loin. Le viol est un crime dans lequel la victime se sent coupable, honteuse. Ne pas pouvoir dire ce que l’on a vécu rajoute à la violence subie et contribue à l’impunité des violeurs. » 

 

Il est temps que la honte change de camp. Il est temps que les victimes de viol puissent parler sans risquer les représailles ou la stigmatisation. 
Ce film est un manifeste contre le viol. A l’instar de leurs aînées qui avaient signé le manifeste pour le droit à l’avortement en 1971 – Manifeste des 343 –, aujourd’hui, des centaines de femmes anonymes et connues ont décidé collectivement de briser le silence sur le viol dont elles ont été victimes. Elles sont peut-être votre soeur, votre mère, votre fille, votre compagne, votre collègue de travail… 

 

Pour toutes, le dire publiquement, massivement, est un acte politique. Ensemble, elles ont décidé d’avancer à visage découvert pour interpeller les pouvoirs publics et la société tout entière. 
 

Objectif : favoriser l’émergence de la parole pour que la loi soit enfin appliquée. C’est à cette condition sine qua non que notre société fera reculer le viol. 
Parmi elles, Clémentine Autain (39 ans, femme politique), Isabelle Demongeot (46 ans, ancienne championne de tennis), Frédérique Hébrard (85 ans, écrivain et scénariste), Anne Monteil-Bauer (50 ans, écrivain et plasticienne), Claudine Rohr (52 ans, employée à Pôle Emploi), Laura (15 ans, collégienne). 
Violées par un inconnu ou par une personne de leur entourage, elles ont accepté d’être les porte-parole de ces centaines de femmes et de revenir, dans ce documentaire, sur le viol qu’elles ont subi.

 

Documentaire. Ecrit et réalisé par Andréa Rawlins. Coréalisateur Stéphane Carrel. Sur une idée originale de Pascal Manoukian. Produit par Capa. Avec la participation de France 2 et Planète Justice.

 

 

00:00. Infrarouge. Simone Veil, une loi au nom des femmes.

 

Le mardi 26 novembre 1974 commence la bataille parlementaire la plus passionnelle de notre histoire. À 16h, Simone Veil monte à la tribune de l'Assemblée nationale pour défendre son projet de loi autorisant l'avortement. 
En France, elles sont alors 300 000 femmes à avorter clandestinement chaque année. 300 000 criminelles selon la loi pénale de 1920, une loi obsolète et ouvertement bafouée. Ministre depuis à peine six mois, encore inconnue des Français, Simone Veil vient porter le combat des femmes face à une Assemblée d'hommes hostiles. Pendant trois jours et deux nuits, elle affronte 74 orateurs, endure les diatribes les plus enflammées, subit jusqu'aux accusations ignobles de racisme nazi ou d'eugénisme, elle, déportée à Auchwitz, rescapée des camps de la morts. Mais Simone Veil tient tête. 
Au petit matin du 29 novembre 1974, après 25 heures de débats et de tumultes, la loi sur l'Interruption Volontaire de Grossesse est enfin votée par 284 voix contre 189, mettant fin à des siècles d'interdits et à des décennies d'hypocrisie.

 

Documentaire. Créé par Valérie Manns et Richard Puech. Réalisé par Richard Puech. Produit par Capa. Avec la participation de Centre National de la Cinématographie et France Télévisions pôle France 2.

De l'émotion, de l'émotion, de l'émotion, et un chouillas d'émotion. Touchés !

 

Ce mardi on va être touchés au cœur. Avec une soirée entière consacrée à une grande dame de la politique qui a ému la France entière, avec un drame français sorti en 2013 dont l'actrice "nouvelle génération" explose de justesse et une série historique captivante, l'émotion est au rendez-vous. Et comme si ça ne suffisait pas, une comédie à l'apparence burlesque qui se révèle chargée... d'émotion. Le programme du jour est carrément chargé !

 

Allez, à demain !

20:50 : SOIRÉE EVÉNEMENT. SIMONE VEIL

UN JOUR UNE HISTOIRE / INFRAROUGE

20:55. SUZANNE. CINÉMA. UNE ACTRICE CRÈVE L'ÉCRAN.

François Damiens et Adèle Haenel (L’HOMME QU’ON AIMAIT TROP) couronnée d’un César pour ce rôle entourent Sara Forestier, saisissante dans ce film présenté en ouverture de la Semaine de la critique à Cannes en 2013. Katell Quillévéré (UN POISON VIOLENT) signe le magnifique portrait d’une femme tragiquement libre.

 

Depuis le décès de leur mère, Suzanne et sa sœur cadette, Maria, vivent seules et heureuses avec leur père, Nicolas, un chauffeur routier. Lorsqu’il apprend que Suzanne, devenue adolescente, est enceinte et qu’elle a décidé de garder l'enfant, c’est l’incompréhension. Le père et la fille s’éloignent peu à peu. Un jour, alors que Charlie, son garçon, a grandi, Suzanne s’entiche d’une petite frappe. Bientôt elle se détourne aussi de son enfant, puis disparaît.

 
Réalisé par Katell Quilévéré (France, 2013, 1h34mn). Scénario : Katell Quillévéré et Mariette Désert. Photographie : Tom Arari. Avec : Sara Forestier (Suzanne), Adèle Haenel (Maria), François Damiens (Nicolas), Paul Hamy (Julien), Anne Le Ny (Isabelle), Corinne Masiero (Eliane). Décors : Anna Falguères. Costumes : Moïra Douguet. Montage : Thomas Marchand. Musique : Verity Susman. Prodtuit par Move Movie. Distribué par Mars Distribution
En 1914, Maurice Genevoix est un jeune normalien séduisant et brillant. La mobilisation le jette soudain, avec toute sa génération, dans un "monde prodigieux", celui de la guerre. Ballotté par cette terrible tempête de l'Histoire, il se retrouve, au bout d'un parcours tumultueux, souvent cocasse et toujours émouvant, cloué avec ses hommes au pied du piton des Éparges. Il sentira, après l'exaltation des débuts et la fraternité des combats, se lever le sentiment amer de l'absurdité du conflit.
 
20:45. Épisode 1. Allons enfants.
Août 1914. La campagne est verte, les soldats bleus, les pantalons garance. Les armées sont en mouvement. La guerre est jeune, comme les hommes. « On y est ! », lancent, ravis, nos deux lieutenants, Porchon et Genevoix. Oui, ils sont contents d'y être ; oui, quand on est jeunes et qu'on a 20 ans dans la France de 1914, on est contents d'y être !
 
21:35. Épisode 2. Nous n'en reviendrons pas.
L'illusion ne dure pas longtemps. Ni pour Genevoix ni pour la bande de soldats qu'il a sous ses ordres et auxquels nous nous attachons. Les premiers accrochages sont violents. Les Français doivent se replier sans cesse. Genevoix tue ses premiers Allemands. Le groupe perd son premier homme. Le moral est au plus bas.
 
 
22:25. Épisode 3. Les soldats bleus.
À présent, la guerre s'est comme pétrifiée. Chacun des belligérants s'est retranché. C'est une autre bataille qui commence. On s'ennuie, on se gèle, on s'amuse comme on peut, on pêche des écrevisses, on prépare le réveillon, et on n'oublie pas de mourir, de temps en temps, sous les bombardements. Les soldats bleus ne chantent plus. On les envoie aux Éparges !

 

Réalisé par Olivier Schatzky. Scénario : Didier Dolna, Olivier Schatzky, d'après l'oeuvre de Maurice Genevoix. 1er assistant réalisation : Sébastien Achard. Conseiller littéraire : Bernard Maris. Avec Théo Frilet (Maurice Genevoix), Satya Dusaugey (Martin), Alexandre Carrière (Biloray), Johan Libéreau (Pannechon), Michaël Abiteboul (Souesmes), Côme Levin (Quelo), Romain Vissol (Vasseur), Manuel Le Lièvre (Percepied), Félicien Juttner (Porchon), Benoît Tachoires (Cerfeuil), Anto Mela (Caletta), Jean-Pierre Lorit (Rives), Marie-Ange Casta (Yvonne), Michaël Cohen (Dast), Patrick Préjean (Colonel Deladerrière), Jean-Philippe Laffont (Tchadek), Patrick Raynal (Le général). Conseiller historique : Jean-Pierre Verney. Producteur délégué : Jean-Luc Michaux. Productrice exécutive : Annick Ouvrard. Production : Native, avec la participation de France 3 et de TV5 Monde, et le soutien du Conseil général de la Meuse

20:45. CEUX DE 14. SÉRIE INÉDITE (1 À 3 / 6)

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